Inscription

Se connecter

Mot de passe oublié ?

Les informations du secteur de l'emballage par région Alsace Aquitaine Auvergne Bourgogne Bretagne Centre Champagne-Ardenne Corse Franche-Comté Île-de-France Languedoc-Roussillon Limousin Lorraine Midi-Pyrénées Nord-Pas-de-Calais Basse-Normandie Haute-Normandie Pays de la Loire Picardie Poitou-Charentes Provence-Alpes-Côte d'Azur Rhône-Alpes

Les informations
par région

Le label Ecocert face à l'emballage

Jeudi 21 Janvier 2010

Le label Ecocert, qui certifie les produits bio, ne labellise jamais un emballage en lui-même, mais d'abord un produit et ensuite le tandem produit/emballage. Contrairement au produit en lui-même, l'emballage se fait labelliser sans contrôle sur site, mais uniquement sur la foi d'une fiche technique éventuellement fournie par le fabricant du contenu. Ecocert use aujourd'hui de moins d'une dizaine de critères pour juger l'emballage, mais ceci est en cours d'évolution à la faveur de la révision du cahier des charges Ecocert. "L’emballage est devenu de plus en plus complexe, et les notions de cycle de vie, de recyclabilité, par exemple, ont beaucoup évolué. Aussi, nous nous devions d’aller plus loin. C’est pourquoi nous avons créé cette année une sous commission Emballage au sein du grand comité technique d’Ecocert. Ce comité technique travaille sur les critères à prendre en compte pour la validation des emballages, et nous en étudions de nouveaux actuellement" explique Valérie Lemaire, DG d'Ecocert Greenlife, filiale d'Ecocert pour les éco-produits (cosmétiques, détergents, parfums d'ambiance). Interrogée par Emballage Digest, elle précise certains choix opérés par Ecocert : "Notre référentiel tel qu’il est en vigueur à ce jour interdit déjà plusieurs matériaux : notamment le PVC, le polystyrène, et par extension les dérivés styréniques et vinyliques sont proscrits. Nous essayons d’examiner tout le cycle de vie du matériau : depuis sa production jusqu’à sa valorisation. Comme la plupart des polymères thermoplastiques sont recyclables, la question est de savoir s’ils sont effectivement recyclés, si la filière amont est respectueuse de l’environnement, notamment. Un autre critère est la diminution à la source de l’emballage. Notre référentiel actuel n’autorise pas le suremballage, mais nous souhaitons aller plus loin sur ce critère en favorisant, par exemple, les recharges, en travaillant sur les volumes des conditionnements par rapport au contenu". / emballagedigest.fr

Sélection Blogs

PROCHAINE REVOLUTION : Pour éliminer les emballages, on mange tout

L’emballage a déjà beaucoup de fonction, celle d’être comestible devient-elle une réalité ? Verrons-nous demain des restaurants proposant des recettes gastronomiques à partir d’emballages, avec une confirmation des qualités organoleptiques, gustatives et nutritionnelles ? Non, je n’y crois pas, car l’emballage n’est … Lire la suite

Packaging France