Inscription

Se connecter

Mot de passe oublié ?

Les informations du secteur de l'emballage par région Alsace Aquitaine Auvergne Bourgogne Bretagne Centre Champagne-Ardenne Corse Franche-Comté Île-de-France Languedoc-Roussillon Limousin Lorraine Midi-Pyrénées Nord-Pas-de-Calais Basse-Normandie Haute-Normandie Pays de la Loire Picardie Poitou-Charentes Provence-Alpes-Côte d'Azur Rhône-Alpes

Les informations
par région

"Elu produit de l'année" vs. "Reconnu saveur de l'année"

Lundi 10 Août 2009

Contrairement à d'autres labels bien établis, les pictogrammes "Elu produit de l'année" ou "Reconnu saveur de l'année" ne signent pas une qualité irréprochable vérifiée par un organe indépendant ou par l'Etat. Ces labels privés sont en effet déployés par des entreprises qui ont leurs propres façons de procéder, et dont le but est avant tout de vendre leurs labels. - Elu produit de l'année.- Créé en 1987, le label porte sur des produits préselectionnés par des professionnels puis soumis, via une enquête par voie postale, à l'avis d'un échantillon de 10.000 ménages. Les entreprises qui soumettent leurs produits doivent payer 3.500 euros pour les résultats puis 16.000 euros pour utiliser le label pendant un an. Les ventes annuelles des produits labellisés progresseraient de 10 à 36,5% selon Management europe Meeting, la société éditrice du label. Ce label est critiqué parce qu'il n'impose pas un test des produits par les consommateurs, qui ne jugeraient le plus souvent qu'en tenant compte de l'impact packaging. - Reconnu saveur de l'année.- Lancé plus tard par Monadia (également propriétaire des labels "Victoires de la beauté" et "Trophée de la maison") ce label coûte lui 1.800 euros en "frais techniques" et 10.000 euros de redevance forfaitaire pour son exploitation. Là, les produits sont testés par des consommateurs selon les normes les plus abouties en matière de benchmarking produits. Ce label revendique une capacité de booster les ventes des produits affublés de 30%. / google.com

Sélection Blogs

PROCHAINE REVOLUTION : Pour éliminer les emballages, on mange tout

L’emballage a déjà beaucoup de fonction, celle d’être comestible devient-elle une réalité ? Verrons-nous demain des restaurants proposant des recettes gastronomiques à partir d’emballages, avec une confirmation des qualités organoleptiques, gustatives et nutritionnelles ? Non, je n’y crois pas, car l’emballage n’est … Lire la suite

Packaging France