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Des labels de durabilité plus ou moins fiables pour l'huile de palme

Mercredi 11 Août 2010

Alors que l'huile de palme est de moins en moins en odeur de sainteté dans l'opinion, notamment parce que l'homme saccage les forêts indonésienne et malaisienne pour planter des palmiers à huile, les labels de respectabilité fleurissent dans les linéaires : "huile de palme durable", "lutte contre la déforestation", etc. La plupart ne sont que de simple attrape-gogos, selon le centre international de recherche sur les forêts (Cifor), auteur d'un rapport sur la situation des forêts publié l'an dernier. Il y a six ans, les acteurs de la filière huile de plame s'étaient engagés à appliquer les standards de la Table ronde sur l'huile de palme durable (RSPO), et promettaient de rendre des comptes chaque année. Mais jusqu'à présent, malgré la publicité faite autour de ces normes, il y a eu peu d'empressement à les appliquer explique le Cifor. On trouve ainsi aujourd'hui plusieurs niveaux d'éco-labellisation de l'huile de palme. De la plus générique, le RPSO (qui oblige à se fournir en Colombie dans des plantations certifiées), au plus laxiste Greenpalm (qui n'est en fait qu'un système de compensation de la déforestation à travers le versement d'un dollar par tonne d'huile produite pour des missions de reforestation), en passant par la certification "mass balance" (qui signe un mélange d'huile durable et d'huile non durable). Le label le plus fiable et le plus exigeant demeure la certification "segregated", qui ne s'applique qu'à l'huile de palme durable, tracée de A à Z. / L'Express

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